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La pêche au poisson mort manié a connu son apogée lors des décennies 80 et 90. Depuis, elle a été délaissée au profit de la pêche aux leurres, compte-tenu du côté pratique et de la profusion de leurres sur le marché. Néanmoins, cette technique reste une valeur sûre et garde toute son efficacité, car elle agit sur deux stimuli : agressivité et impérieuse nécessité de s’alimenter. à l’heure actuelle, il est parfois opportun d’y avoir recours pour sauver la partie de pêche.
Le chevesne, Leuciscus céphalus, nommé cabot dans notre région est présent dans toutes les rivières de seconde catégorie, mais avec le réchauffement climatique, il cohabite de plus en plus en amont avec la truite dans les eaux de première catégorie.
En été, dans notre région, la surfréquentation des grandes rivières par les activités touristiques : baignade, canoës... perturbe en journée l’activité des poissons. Les niveaux trop bas avec des eaux souvent trop chaudes, autour de 20°c voire plus sur certains secteurs, font que la truite qui a ralenti son métabolisme n’est pas dans une période d’activité maximale.
Dans la rubrique du mois de juin, nous avions détaillé le montage d’une mouche de mai, laquelle appartient à l’ordre des éphéméroptères qui est un groupe important, mais tout aussi essentiel est celui des trichoptères qui compte de très nombreuses espèces, les sedges ou phryganes, ainsi nommé(e)s dans l’univers des pêcheurs à la mouche. Aussi allons-nous voir le montage d’un spécimen représentatif : Le genre Potamophylax.
Dans les deux articles précédents, d’avril et mai, nous avons présenté les outils ainsi que les matériaux nécessaires pour réaliser le montage des mouches et des nymphes artificielles. Ce mois-ci, je propose aux jeunes lecteurs pêcheurs ou aux plus anciens qui décident de se lancer dans cette belle pêche qu’est la mouche fouettée, de monter leur première mouche car rien n’est aussi valorisant que de prendre des poissons avec des mouches que l’on a montées soi-même.
Dans la première partie consacrée au montage des mouches parue le mois dernier, nous avions présenté les outils nécessaires au montage. Je vous propose de voir maintenant quels sont les matériaux de base, indispensables, et ceux qu’il est possible d’employer accessoirement pour réaliser les mouches et les nymphes.
Parmi toutes les méthodes de pêche qui existent, la pêche à la mouche avec des imitations que l’on a montées soi-même est sans doute la plus gratifiante et la plus plaisante qui soit. Elle est aussi très efficace pour qui en possède la maîtrise. C’est une pratique très ancienne qui n’a cessé d’évoluer et qui s’est démocratisée de plus en plus en France à partir des années 1970.
En préambule à cette nouvelle ouverture, je vous propose cette petite réflexion sur les paramètres de réussite d’une partie de pêche.
à certaines périodes de l’année, et principalement en hiver, où leur métabolisme est ralenti par les conditions météo, les sandres, déjà méfiants par nature, sont parfois difficiles à faire mordre sur nos leurres souples. Il est alors indispensable de tenter d’affiner la pêche afin de trouver le bon leurre du moment et espérer avoir quelques touches. Voyons quelles sont les pistes à explorer…
Dans la rubrique pêche du mois de novembre consacrée à la présentation des têtes plombées pour les leurres à perche, nous avions évoqué l’intérêt et les avantages de la plastification du plomb qui les constitue. Il existe des têtes plastifiées dans le commerce, mais le choix est assez réduit et elles sont plus onéreuses que les têtes en plombs brut. Enfin, comme de nombreux pêcheurs de carnassiers moulant eux-mêmes leurs têtes plombées, il est intéressant de les plastifier soi-même ; ce qui laisse libre cours à la créativité dans le choix des couleurs.
Dans la rubrique du mois dernier, nous avions fait une présentation des différentes familles de leurres souples pour la perche. S’il existe divers montages pour présenter un leurre souple, la plupart peuvent s’armer avec différents types de têtes plombées ce qui présente l’intérêt d’en modifier la nage afin de trouver la combinaison qui fonctionne le mieux en un temps donné. N’oublions pas que novembre est un des meilleurs mois pour pêcher la perche.
Le début de l’automne est sans doute la meilleure période pour réaliser de belles pêches de perches aux leurres souples en pêchant en profondeur depuis une embarcation, bateau, Kayak ou float-tube. Dans cet article je propose de vous présenter les différents types de leurres souples qui conviennent pour pêcher la perche à cette période de l’année.
Si depuis plus d'une décennie la pêche de la truite aux leurres artificiels est de plus en plus substituée a la pêche traditionnelle au vairon manié. Il n'en demeure vas moins que celle-ci est ancrée depuis des lustres dans a culture halieutique de chaque région. A l'origine chacune de les a su concevoir ne monture au caractéristique ses cours d'eau et a la façon de pêcher des autochtone.