Retrouvez l'actualité sur histoire avec Bulletin d’Espalion
Dans ce premier épisode consacré à la commanderie templière de Lacapelle-Livron, nous allons rappeler l’histoire de cette commanderie, qui vit le jour vers la fin du XIIe siècle en un endroit qui appartint au Quercy et qui dépend aujourd’hui du département du Tarn-et-Garonne. Ce n’est que dans le second épisode que nous nous attacherons à décrire ses bâtiments, nous attardant plus particulièrement sur l’ex-chapelle templière devenue, depuis, l’église paroissiale Saint-Sauveur.
Notre archiviste Jean Hier s'est penché, comme chaque année, sur les archives séculaires du Bulletin d’Espalion, du Journal de l’Aveyron et de l’Echo d’Espalion. Voici donc une sélection d'informations parues durant le premier trimestre de l'année 1925.
Alors que de nombreux enfants ont déjà envoyé leur courrier au Père Noël ou se préparent à le faire, nous nous penchons aujourd'hui sur les origines de ce personnage qui, au fil du temps, est devenu universel. Ce faisant, nous serons amenés à parler de saint Nicolas qui fut, en quelque sorte, le “prototype” du Père Noël, car lui aussi distribuait (et continue à distribuer) des cadeaux aux enfants sages. Et si le Père Noël s’est substitué à saint Nicolas pratiquement partout, ce dernier est toujours fêté dans quelques pays d’Europe (comme la Belgique) et dans le nord-est de la France.
Alors que la ville de Pigüé s'apprête à fêter le 140e anniversaire de sa fondation, le 4 décembre, il est temps d’achever le portrait de Clément Cabanettes débuté il y a un an.
L’année 2024 aura été l’occasion de rappeler de nombreux événements survenus il y a 80 ans, soit en 1944, période qui vit l’Allemagne nazie reculer sur tous les fronts de guerre.
Développeur de patrimoine. L'Aveyronnais Grégory Alary, développeur informatique spécialisé dans les applications pour mobiles, est également féru d'histoire et de patrimoine. C'est à la croisée de son métier et de cette passion qu'est née Carte du Patrimoine, une application mobile qui recense géographiquement les monuments historiques de France où que vous vous trouviez.
Dans ce cinquième et ultime épisode, nous allons rester à Saint-Côme-d’Olt, cité médiévale qui conserva des liens très étroits avec la famille de Curières de Castelnau, puisque cette dernière posséda pendant longtemps le château situé au cœur de la cité médiévale, qui abrite aujourd'hui la mairie.
Dans ce quatrième épisode, nous allons rappeler le rôle primordial que joua le général de Curières de Castelnau au début de la Grande Guerre, ayant notamment remporté, coup sur coup, deux victoires d’une importance capitale : celle de la Trouée de Charmes et celle du Grand Couronné.
Ce troisième épisode est consacré à la famille du général de Curières de Castelnau, l’une des plus anciennes et des plus prestigieuses du Rouergue. Portant, à l’origine, “de Curières” comme seul nom, c’est bien plus tard que les représentants de cette maison ajouteront les mots “de Castelnau” à la suite de leur premier patronyme.
Dans ce deuxième épisode, nous allons brosser le portrait du général Édouard de Curières de Castelnau, un portrait physique, tout d’abord, qui sera suivi de quelques évocations de son comportement (digne d’éloges) vis-à-vis des hommes placés sous son commandement. C’est ainsi que nous découvrirons un général particulièrement soucieux du bien-être de ses soldats.
Il y a quelques années déjà, nous faisions découvrir à nos lecteurs le général de Curières de Castelnau en rappelant brièvement sa vie. Aujourd’hui, l’actualité nous amène à reparler de ce personnage.
Aujourd’hui, nous allons évoquer un officier de grand mérite : le général Sébastien Viala dont le parcours glorieux n’est pas sans rappeler celui du colonel Higonet. Engagé, comme ce dernier, en 1792, dans le 2e bataillon de volontaires de l’Aveyron, le général Viala se battra en Italie, en Égypte et en Allemagne, montrant, dans tous les combats qu’il eut à mener, un courage indéfectible et une valeur militaire indiscutable.
Dans ce dernier épisode consacré aux céramiques sigillées de la Graufesenque, nous allons évoquer une conséquence due à la production massive desdites céramiques, la déforestation des causses environnants, ainsi que l’exportation de nos poteries rouergates et des artisans potiers de la Graufesenque.
Le musée de la ville de Millau, connu sous le nom de “Musée de Millau et des Grands Causses”, possède une impressionnante collection de céramiques sigillées datant des Ier et IIe siècles de notre ère, lesdites céramiques présentant cette particularité d’être de couleur “rouge vernissée” et, bien entendu, de porter la marque, l’estampille ou le sceau (sigillum en latin) de leur fabriquant. Or, ces nombreux artéfacts proviennent d’un site archéologique situé à seulement deux kilomètres au sud de Millau : le site de la Graufesenque.