Les archives du jeudi 18 janvier 2024 - Bulletin d’Espalion | Page 8

Florentin-la-Capelle. Un cadeau pour les anciens de la commune

Vœux de la municipalité. Des remerciements et des projets pour la commune

Le Nayrac. Cinéma : trois films à l'affiche

Rando entre Causse et Dourdou. Une belle randonnée pour démarrer l'année

Communiquer Partager Construire. Liste présentée par Hélène Constans

Espalion Expos

Générosité. Un chèque de 1.200 euros pour le Téléthon

La Dynamo cantalienne. Un nouveau bureau sera bientôt élu

Reprise du salon de coiffure. Les Fantaisies de Charlotte : la vie en rose

40 ans après avoir installé son salon de coiffure à Entraygues, Martine va pouvoir prendre une retraite bien méritée. Les clientes du salon (4 avenue du Pont de Truyère) ne resteront pas sans soins. Charlotte Desbois est arrivée, avec sa coupe moderne, ses fantaisies et ses 30 ans.

Espalion. Au Fil de l'Olt Au Fil de l'Olt Au Fil de l'Olt

Les “gros mots” de Jean-Paul Pelras. La trahison

Les “gros mots”, la chronique de Jean-Paul Pelras.

Un partenariat pour mieux transmettre les métiers de l’artisanat

L’association espalionnaise l’Outil en main et la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Aveyron ont officialisé un partenariat visant à promouvoir les métiers artisanaux auprès des jeunes. Cette année, à Espalion, ce sont 32 jeunes encadrés et guidés par 12 bénévoles, tous anciens artisans locaux, qui viennent chaque mercredi explorer divers métiers.

Chaudes-Aigues. Les vœux de la brigade de gendarmerie par le commandant Nicolas Gilles

Projet de la CHAC. Le harcèlement selon Kintsugi

À travers la création d'une affiche ou d'une vidéo, qui servira de support de communication, les enfants doivent porter un projet dans leur établissement contre le fléau du harcèlement. Avec la classe à horaires aménagés cinéma (CHAC), une douzaine de collégiens se sont affairés. Le titre de ce court-métrage : “Kintsugi, l'art de la réparation”.

Tourisme. Le projet de réhabilitation du village de vacances avance

Le site a ouvert ses portes en 1972, avec des pavillons qui devaient tenir 20 ans. 50 ans plus tard, ils restent encore debout, mais usés et hors norme, tant du côté esthétique que dans leur conformation. Le projet de réhabilitation se concrétise : ce chantier chiffré et inscrit sur le papier, permet de découvrir un visage différent, plus moderne, mieux adapté à la demande et accessible au plus grand nombre.