Les archives du jeudi 15 février 2024 - Bulletin d’Espalion | Page 12

Énergies renouvelables. La mairie lance une concertation publique

La commune consulte pour définir des zones susceptibles d'accueillir l'implantation de projets d'énergie renouvelable.

Service funéraire. Du nouveau à Entraygues

Deux chorales réunies pour un moment musical. Concert pour un voyage autour du monde

Dimanche après-midi 4 février, la salle culturelle était comble. De nombreux spectateurs avaient pris place pour écouter le concert “Voyage autour de monde” avec la chorale “Au chœur des flots” d'Entraygues et celle du collège Louis Denayrouze d'Espalion.

Patrimoine architectural et paysager. L'Avenir du patrimoine villecomtalais en assemblée

Vendredi 2 février, la toute jeune association Avenir du patrimoine villecomtalais s'est réunie en assemblée générale. «Promouvoir la connaissance, la préservation et la réhabilitation du patrimoine architectural et paysager de la commune de Villecomtal, notamment, son petit patrimoine rural», telle est la devise de l'association.

Travaux. Le tour de ville bientôt en chantier

Dernièrement, la mairie a organisé une réunion publique pour présenter les importants travaux de la traversée de la ville qui vont débuter prochainement.

Laguiole. Les Randonnaïres de l'Aubrac

Rodelle. Quine de la chasse

Saint-Geniez d'Olt. Permanence habitat

Les Ptits Mordus de cinéma

Entraygues-sur-Truyère. Forum professionnel pour l'emploi

Saint-Amans-des-Côts. Vous cherchez du personnel ?

Montsalvy. Les ateliers d’Élodie

Montsalvy. Formation des aidants confrontés à la maladie d’Alzheimer

Salon Thermalies Paris. Caleden au Carrousel du Louvre

Le salon Thermalies Paris se tenait du 25 au 28 janvier au Carrousel du Louvre à Paris. Les principaux acteurs d'hydrothérapie, du thermalisme, de la balnéothérapie et du spa y recevaient leurs futurs clients.

Un saut dans les archives du XIXe. “Laguiolaises” : des vies à contre-courant

Livre. Avec “Laguiolaises” Michel Trigosse sort de l'oubli les filles Astruc. Mères célibataires, mariées sur le tard (pour l'époque), multipliant les procès, ces femmes du XIX étonnent dans «ce siècle de la misogynie triomphante, de l'hypocrisie bigote et d'un Code civil impitoyable». Épluchant les archives, Michel Trigosse brosse le portrait de ces Laguiolaises qui, bien souvent, étaient plus maîtresses de leur destin qu'on ne le pense.