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Histoire, cuisine, mode, humour, maquillage... de nombreuses personnes partagent leurs découvertes sur les réseaux sociaux. Parmi elles, Anne Gayral et son compte Instagram “Latelierdesgourdes” aux 109.000 followers. Également Ruthénoise, et ayant des attaches à Saint-Geniez, Raphaëlle Auguy s'est aussi faite connaître sur Instagram sous le pseudonyme de “Raphoggy”.
Cette année, c'est autour d'une bonne table de l'Opéra, le restaurant qui grimpe à Rodez, que Tristan Cuche a présenté la nouvelle édition du Petit Futé Aveyron et de l'Aveyron à Paris à la presse aveyronnaise.
Marc-Antoine Charrier (1755-1793) laissa son nom dans l’Histoire après avoir mené une courte campagne contre-révolutionnaire en Lozère en tant que chef de l’Armée Catholique du Midi. Pascal Cazottes revient sur l'histoire de cet homme encensé par les uns et décrié par les autres.
Si tout le monde connaît la galette des rois que chacun aime déguster le jour de l'Épiphanie et, parfois, bien après — nos boulangers-pâtissiers jouant d'ailleurs les prolongations tout au long du mois de janvier et devançant quelquefois l'appel dès la fin décembre — savons-nous exactement d'où vient cette tradition et ce que représente ce gâteau ? Autant de questions auxquelles Pascal Cazottes va s'efforcer de répondre…
Dans ce dernier épisode consacré au maquis Jean-Pierre, nous allons voir nos anciens maquisards tenir vaillamment les positions qui leur furent confiées, comme dans la forêt de la Hardt, puis franchir le Rhin pour pourchasser les nazis sur leur propre terrain, et, finalement, occuper une ville autrichienne dans le plus grand respect de sa population.
Bien que le territoire aveyronnais fût libéré de la présence de tout soldat allemand, les hommes du maquis Jean-Pierre étaient décidés à poursuivre la lutte et à bouter le “teuton” hors de France. Aussi, s’engagèrent-ils dans l’armée régulière française afin de contribuer à la capitulation du Troisième Reich, ce qui les conduira tout d’abord jusqu’en Alsace (après être passés par la Bourgogne) où les combats furent particulièrement violents.
La bûche de Noël, une tradition millénaire qui s'est transformé en dessert il y a un peu plus d'un siècle en France, et dont Pascal Cazottes nous raconte l'histoire
Dans ce deuxième épisode, nous allons voir Pierre Monteil résolu à créer son propre maquis et y parvenir enfin après bien des contretemps. Si le maquis “Jean-Pierre” fut sans doute l’un des derniers groupes de résistants à se constituer en Aveyron, il eut cependant plusieurs fois l’occasion de se distinguer dans des opérations (souvent à risque) dont certaines d’entre elles seront ci-après rappelées.
Quand on évoque le maquis «Jean-Pierre», d’Estaing, on ne peut pas faire autrement que de l’associer à celui qui en fut le fondateur : Pierre Monteil. Ce dernier, dont le courage, l’abnégation et la détermination firent de lui un grand homme de la Résistance.
Dans la valise de nos abonnés.
Presque tous les Aveyronnais connaissent l'aventure de Pigüé, cette ville de la pampa argentine fondée au XIXe siècle par des colons aveyronnais. Le nom de son fondateur, Clément Cabanettes, est également connu, mais sait-on quel aventurier fut ce fils de paysans d'Ambec, entre Lassouts et Saint-Côme, dans le Nord Aveyron ? Portrait d'un personnage hors du commun.
Les Florentines de Florence Castelbou. Les coups de cœur en Aveyron et ailleurs de Florence Castelbou, originaire de Saint-Geniez d'Olt, dont les textes et photos sont publiés sur Instagram (Les Florentines).
Fondée au début du XIIe siècle par Adalard (ou Alard) d’Eyne, bouteiller (ou maître échanson) du comte de Flandre, la domerie (ou hôpital) d’Aubrac fut d’un grand secours aux pèlerins amenés à traverser les étendues sauvages de l’Aubrac. Mais, au fil des siècles, la domerie sut également se rendre indispensable en prêtant journellement assistance aux indigents et aux malades. Unique en son genre car totalement indépendante, la domerie d’Aubrac, après avoir connu les vicissitudes de l’Histoire, cessera toutefois toute activité au moment de la Révolution qui lui fut fatale.
Derrière sa façade massive et quelque peu austère, l'église de Saint-Martial de Rieupeyroux révèle un intérieur doté de beaux éléments architecturaux : voûtes d’ogives, coupole octogonale et chapiteaux rescapés de sa période romane. À cette église est également attachée une bien curieuse légende, mettant en scène le géant Gargantua...