Retrouvez les actualités Histoire avec le Bulletin d'Espalion
Dans ce quatrième épisode, nous allons rappeler le rôle primordial que joua le général de Curières de Castelnau au début de la Grande Guerre, ayant notamment remporté, coup sur coup, deux victoires d’une importance capitale : celle de la Trouée de Charmes et celle du Grand Couronné.
Ce troisième épisode est consacré à la famille du général de Curières de Castelnau, l’une des plus anciennes et des plus prestigieuses du Rouergue. Portant, à l’origine, “de Curières” comme seul nom, c’est bien plus tard que les représentants de cette maison ajouteront les mots “de Castelnau” à la suite de leur premier patronyme.
Dans ce deuxième épisode, nous allons brosser le portrait du général Édouard de Curières de Castelnau, un portrait physique, tout d’abord, qui sera suivi de quelques évocations de son comportement (digne d’éloges) vis-à-vis des hommes placés sous son commandement. C’est ainsi que nous découvrirons un général particulièrement soucieux du bien-être de ses soldats.
Il y a quelques années déjà, nous faisions découvrir à nos lecteurs le général de Curières de Castelnau en rappelant brièvement sa vie. Aujourd’hui, l’actualité nous amène à reparler de ce personnage.
Aujourd’hui, nous allons évoquer un officier de grand mérite : le général Sébastien Viala dont le parcours glorieux n’est pas sans rappeler celui du colonel Higonet. Engagé, comme ce dernier, en 1792, dans le 2e bataillon de volontaires de l’Aveyron, le général Viala se battra en Italie, en Égypte et en Allemagne, montrant, dans tous les combats qu’il eut à mener, un courage indéfectible et une valeur militaire indiscutable.
Dans ce dernier épisode consacré aux céramiques sigillées de la Graufesenque, nous allons évoquer une conséquence due à la production massive desdites céramiques, la déforestation des causses environnants, ainsi que l’exportation de nos poteries rouergates et des artisans potiers de la Graufesenque.
Dans le précédent épisode, nous avons vu que les fouilles entreprises à la Graufesenque permirent de mettre au jour de nombreuses poteries et autres moules. Mais les archéologues dégagèrent également des vestiges de maisons, de sanctuaires et, bien évidemment, de fours. Toutes ces découvertes, sans oublier celles d’assiettes sur lesquelles avait été gravé par les potiers eux-mêmes le détail de leurs tâches, facilitèrent assurément le travail des spécialistes lorsqu’il s’est agi de percer les secrets de la vaisselle sigillée.
Le musée de la ville de Millau, connu sous le nom de “Musée de Millau et des Grands Causses”, possède une impressionnante collection de céramiques sigillées datant des Ier et IIe siècles de notre ère, lesdites céramiques présentant cette particularité d’être de couleur “rouge vernissée” et, bien entendu, de porter la marque, l’estampille ou le sceau (sigillum en latin) de leur fabriquant. Or, ces nombreux artéfacts proviennent d’un site archéologique situé à seulement deux kilomètres au sud de Millau : le site de la Graufesenque.
S’il est habituel de rappeler l’existence de ces Aveyronnais célèbres qui, par leur talent, ont su se hisser au sommet de la gloire, à l’instar du poète Charles de Pomairols, de la cantatrice Emma Calvé, de l’entomologiste Jean-Henri Fabre ou encore du général Edouard de Curières de Castelnau, on oublie trop souvent de rendre hommage à ces historiens qui, maniant la plume avec habileté, se sont efforcés de perpétuer la mémoire de nos glorieux compatriotes. C’est assurément le cas de Bernard Combes de Patris, historien, essayiste et critique, qui, malgré un exil parisien de plus de trente années, n’oublia jamais son Rouergue natal, principale source d’inspiration de ses écrits.
Alors que le niveau scolaire ne cesse de dégringoler en France, faisons un retour dans le passé pour rappeler cette époque bénie où notre pays occupait la première position mondiale pour la qualité de son enseignement.
Sur la commune de Caylus (Tarn-et-Garonne) se trouve le vallon de Livron qui, outre son aspect féerique (avec sa grotte, ses rochers et ses frondaisons épaisses), a vu l'édification d'au moins deux édifices religieux et l'instauration d'un pèlerinage basé essentiellement sur une légende et l'apparition d'une source (sous la pioche des terrassiers) aux effets salutaires.
Dédiée à sainte Fauste, une chrétienne morte en martyre à Cyzique (en Asie Mineure) au début du IV siècle, l’église romane de Bozouls a été édifiée sur un éperon rocheux dominant un cirque naturel en forme de fer à cheval au fond duquel coule le Dourdou. Cette église, comme la plupart des édifices religieux très anciens, a subi d’importantes transformations au fil des siècles, ayant toutefois conservé son aspect roman (principalement visible à l’intérieur). Plusieurs éléments de ce monument retiendront tout particulièrement notre attention, comme ces chapiteaux historiés ou ce mystérieux “quatre de chiffre”.
Pour la célébration du 130 anniversaire de la mort de Charles de Louvrié, l’Association des Amis de C. de L., dont le siège est situé à la mairie de Campouriez (05.65.44.85.31), organise deux journées exceptionnelles, les vendredi 19 et samedi 20 juillet, avec expositions, théâtre, initiation au pilotage de drones, etc. Naturellement, nous encourageons nos lecteurs à venir assister à cet événement qui est, pour nous, l’occasion de rappeler ici le parcours de Charles de Louvrié, personnage à qui nous devons l’invention, au XIX siècle, du premier moteur à réaction…
À seulement un kilomètre au nord d’Estaing, surplombant légèrement la route conduisant au Nayrac, se présente à notre vue un petit hameau au centre duquel a pris place une chapelle datant du premier quart du XVI siècle.