Retrouvez les actualités Histoire avec le Bulletin d'Espalion | Page 2
À Espalion, l’hôpital Jean Solinhac abrite dans sa chapelle une statue de la Vierge Marie connue sous le nom de Notre-Dame la Négrette. Considérée comme une Vierge Noire, nous verrons que cette statue est, en réalité, tout autre chose.
A Caylus, petit bourg du Tarn-et-Garonne dont le nom dérive du bas latin castellucium faisant référence à un château, l’église du lieu offre à la vue du visiteur un étonnant portail peuplé de créatures énigmatiques — comme ces dragons que nous ne manquerons pas d’évoquer — ou d’animaux bien plus réels mais à la symbolique tout aussi surprenante…
Dans ce deuxième et dernier épisode consacré à Carantomagus, nous allons évoquer tous les différents éléments qui, en plus du nom précédemment analysé, nous amènent à penser que Cranton fut bel et bien l’ancienne Carantomagus.
Carantomagus était une ancienne cité gallo-romaine dont l’existence passée fut découverte grâce à la Table de Peutinger. Au XIX siècle, on tenta de localiser l’emplacement de Carantomag. C’est alors que plusieurs éléments — comme le résultat des fouilles archéologiques menées par l’abbé Cabaniols — vinrent désigner le hameau de Cranton, sis commune de Compolibat (département de l’Aveyron), comme étant le lieu de l’antique Carantomagus. D’ailleurs, c’est aussi à cette conclusion qu’aboutirent les recherches menées par Eugène Marre, professeur départemental d’agriculture de 1892 à 1918, directeur des services agricoles de l’Aveyron et membre de la Société des Lettres, Sciences et Arts de l’Aveyron. Ce dernier rassembla le résultat de ses travaux dans un livre intitulé «CARANTOMAG, CARANTOMAGUS (CRANTON)», ouvrage qui, sorti des presses de l’imprimerie Carrère en 1916, fait toujours autorité en la matière, nous fournissant nombre d’informations que nous ne manquerons pas de rappeler dans les présentes colonnes.
Nous partons aujourd’hui à la découverte d’un village d’origine médiévale — celui de Lagarde Viaur — qui, pour se trouver dans le département du Tarn, n’en est pas moins très proche de l’Aveyron, puisque seule une rivière (le Viaur) l’en sépare. Ce faisant, nous nous attarderons sur son église, fort intéressant édifice qui a bénéficié des services du peintre Jacques Bosia, cet artiste descendant d’une vieille famille italienne dont nous avons déjà eu l’occasion de parler dans ces mêmes colonnes.
Dans ce quatrième et dernier épisode, nous allons évoquer la seconde partie du parcours de Francis Poulenc et rappeler celui de son oncle Camille.
Dans ce troisième épisode, nous allons rappeler le parcours du grand compositeur Francis Poulenc, depuis sa naissance jusqu’aux années 30.
Dans ce deuxième épisode, nous allons rappeler le parcours d’Étienne Poulenc, frère de Joseph, qui suivit la voie tracée par son aîné, et évoquer sa succession.
Dans ce premier épisode consacré à la famille Poulenc, nous allons nous pencher sur les origines espalionnaises des Poulenc et rappeler le parcours d’un de leurs membres les plus célèbres : Joseph Poulenc.
Après nous avoir fait découvrir la réussite toulousaine de Pierre Delpech, et comment il a mis le pied à l'étrier dans la ville rose à d'autres Espalionnais, les Assézat, Michel Trigosse nous a également fait découvrir les richesses que l'église d'Alayrac doit à ce riche marchand. L'historien nord-aveyronnais termine son triptyque en évoquant les rivalités qui opposent désormais les deux familles à Toulouse sur fond de guerre de religion.
Michel Trigosse, historien d'origine nord-aveyronnaise, nous emmène à la découverte de la réussite de quelques Espalionnais, les Delpech et les Assézat, en terre toulousaine, entre Moyen Age et Renaissance.
Michel Trigosse, historien d'origine nord-aveyronnaise, nous emmène à la découverte de la réussite de quelques Espalionnais, les Delpech et les Assézat, en terre toulousaine, entre Moyen Age et Renaissance.
Dans ce dernier épisode, nous allons voir Charrier subir plusieurs interrogatoires au cours desquels il ne lâchera aucune information d’importance, pas même les noms de ses complices (sauf celui de l’abbé Allier), s’efforçant, au contraire, d’endosser le rôle de seul responsable de la révolte royaliste en Lozère.
La lutte étant devenue vaine pour les rebelles royalistes, Charrier licencia son armée et s’enfuit vers Nasbinals. Caché, avec sa femme et son fidèle ami Laporte, dans le souterrain qu’il avait fait aménager dans un domaine lui appartenant, il sera finalement trahi, fait prisonnier et conduit à Rodez pour y être jugé.