La notoriété ? «Certes, mais pas que la notoriété. Mais également le fait que les gens qui fréquentent nos maisons possèdent un certain standing, regardez les berlines sur le parking Après le confinement, au lieu d'aller à Bali ou ailleurs, ils restent en France et la visitent. Et le Cantal devient attractif dans la mesure où il a été épargné par le Covid».
Non seulement les clients se pressent, en plus «à défaut de venir dîner et de coucher ici, ils retiennent pour plusieurs jours, un week-end complet, ou en semaine». Et d'ajouter : «Je pense qu'en bas, mes collègues travailleront à l'identique pour les mêmes raisons à un autre niveau bien sûr, mais tout le monde profitera de cette situation».
En ce qui concerne Sodade, l'exploitation entre dans sa troisième année, l'année charnière, celle où le potentiel de l'hôtel prend sa vitesse de croisière. «Effectivement Sodade cartonne. Nous sommes contents. Pour nous la saison s'annonce superbe, si la deuxième vague... Nous sommes à quarante employés pour les deux sites et ouverts six jours sur sept.»
Quels aménagements et contraintes pour satisfaire aux protocoles sanitaires ? «La salle du restaurant du château a été adaptée. Des claustras en bois et cuir donnent l'impression d'être seul au monde face aux larges baies vitrées qui offrent cette vue imprenable sur nos paysages cantaliens. La terrasse permet de profiter pleinement de ce panorama exceptionnel dont l'ambiance allie quiétude, simplicité et confort. Nous garderons vraisemblablement ces améliorations après le Covid pour l'intimité des clients».
La salle de restaurant, si elle perd quelques couverts, gagne en élégance, spontanéité dans un environnement extatique. La terrasse, en pierre de Bouzentès, couverte à la demande, ajoute une offre différenciée...
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