Le “gros mot” de Jean-Paul Pelras
C’était pour ainsi dire une tradition, un sport communal que certains avaient même surnommé «tir aux pigeons». Sauf que, sur ce coup-là, nul besoin d’escopette, d’arquebuse, de carabine ou d’espingole pour évincer l’impétrant. Un stylo, un feutre ou, pour les inconditionnels de correspondances empanachées d’arabesques, un porte-plume...
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