Les “gros mots” de Jean-Paul Pelras
Finalement, à bien y regarder, il ne faut pas grand-chose pour devenir Premier ministre. Avoir exercé une quantité quasi industrielle de mandats électifs au sein de tout ce que compte nos institutions, y compris dans les sphères du Haut-commissariat au Plan dont le commun des mortels ignore la fonction et l’utilité, avoir balancé une taloche...
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