Chaudes-Aigues
Concours bovin ce dimanche
Manifestation emblématique avec 71 élevages et 500 animaux, elle se déroulera ce dimanche 22 septembre à Chaudes-Aigues. À l'organisation, le syndicat Aubrac du Cantal.
Les hauteurs Caldaguès l'accueilleront. C'est promis, le soleil tiendra le rendez-vous, c'est écrit sur les réseaux sociaux et les sites spécialisés. Ces prévisions laissent présager une belle journée avec d'ores et déjà une plaisante mobilisation.
En prélude à cette fête l'exposition “Au cœur des étables”, gracieusement prêtée par son auteur Jean-Luc Girod, pare les murs de la cité thermale.
L'Aubrac en vedette
Cette manifestation organisée par le syndicat d'éleveurs de la race Aubrac reste un événement agricole où les participants présentent leurs meilleurs spécimens. Elle permet de montrer la qualité de leur travail, de comparer leur bétail avec d'autres, et de promouvoir l'Aubrac.
Les animaux sont jugés sur divers critères : leur conformation, leur musculature ou leur aptitude à la reproduction. Le grand public, les familles, les enfants, curistes et autochtones ne manqueront pas de découvrir cette ferme à ciel ouvert sur le terrain de Ladignac chez Benoît Guibal.
L'entrée reste totalement libre, restauration sur place sans inscriptions préalables.
Vous pourrez y apprécier la qualité du cheptel cantalien et tomber sous le charme des belles aux yeux noirs. Le concours demeure aussi une occasion pour les éleveurs d'échanger des conseils, de discuter des pratiques actuelles, et de nouer des contacts. «Rencontre à la fois professionnelle et grand public, c'est chaque année un rassemblement remarquable, témoin du dynamisme de la race, de sa filière cantalienne, laquelle s'est avant tout illustrée lors du dernier salon international de l'agriculture.»
Souvent, des activités supplémentaires sont proposées, comme des démonstrations, des stands de produits locaux, matériels divers. Ces rendez-vous demeurent non seulement des compétitions, mais aussi des moments de sociabilité et de partage entre passionnés. Cependant, les organisateurs et exploitants croisent les doigts pour que la crise sanitaire (FCO et MHE) reste au large, sans s'inviter.
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