«Dimanche soir, j'apprenais que je n'étais plus député.» Une semaine après, la profession de foi déposée, le candidat de la majorité présidentielle, Stéphane Mazars se dit «combatif».
Modestie et lucidité
Difficile pour le député sortant de ne pas reconnaître la défaite des européennes : «Il faut être lucide, si nous connaissons une telle crise, peut-être que nous avons mal fait. Face à cette déroute, le président a décidé que c'était au peuple de choisir.»
«Nous comptons aller...
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