Les “gros mots” de Jean-Paul Pelras
Avec le Salon International de l’Agriculture qui s’est tenu Porte de Versailles fin février, nous avons pu vérifier toute l’affection et même la compassion que les politiques éprouvaient à l’égard des paysans français. De quoi justifier, profitant du prisme offert par cet événement, la décontraction vestimentaire et les manches retroussées d’un président tutoyant «nos» agriculteurs, un peu comme s’ils nous appartenaient. A moins qu’il ne s’agisse d’une posture stratégique, car si «nos»...
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