Nous l’appellerons donc Baptiste. Nous lui donnerons 40 ans. Celui-là vit dans un petit village du haut pays où l’on compte encore 5 feux contre plus de 50 au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Pour arriver jusqu’ici, il faut bien sûr emprunter le réseau dit “secondaire”. Celui qui monte jusqu’à cette nécessité inexplicable qui fait le quotidien de cet agriculteur.
Ce matin-là, les emmerdements ont commencé à cause de la bétaillère,...
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