Monsieur,
Pour nous diriger un peu vers le métier, j’emprunterai à l’ami Jean Carrière (Goncourt 1972 pour “L’épervier de Maheux”) cette réflexion qu’il me confia en 2005 avant de s’éloigner pour trop longtemps de l’autre côté du chronomètre : «Il vaut mieux marcher seul avec une pensée personnelle qu’on ne le ferait en compagnie de millions d’individus et une pensée unique».
Lorsque vous déclarez, comme vous venez de le faire sur twitter : «Il est urgent de sortir de l'impasse de l'agriculture...
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