Monsieur,
Nous avons alors laissé de côté ce que nous réserve, jour après jour, le prisme des médias et avons évoqué quelques souvenirs liés aux saisons, les nouvelles d’un lointain apparenté, le devenir de nos professions, l’imperturbable langueur de l’été.
J’ai, depuis, repensé à cette conversation, nécessaire car salutaire comme peuvent l’être ces parenthèses que rien ni personne ne vient...
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