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Santé. Don d’organes : oser parler de la mort pour parler de la vie

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Santé. Don d’organes : oser parler de la mort pour parler de la vie
Shutterstock

Santé

«On prélève un cœur sur une personne décédée, on greffe ce même cœur sur une personne malade, et elle survit, elle vit. C’est dingue, complètement dingue.» C’est en ces termes qu’Olivier Coustère, président de l’association Trans-Forme, décrit le don et son impact. Atteint d’une insuffisance rénale chronique, lui-même a été greffé d’un rein à trois reprises, en 1982, 1994 et 2006. «A l’époque, on m’a dit que j’avais la chance de survivre, mais moi je voulais vivre et même vivre bien. Sportif de haut niveau, j’ai donc créé une association pour valoriser le rôle capital de l’activité physique auprès des patients en vie grâce à la...

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