Les correspondances de Jean-Paul Pelras
Monsieur,
57 vendanges au pressoir et je ne vous ai jamais adressé de courrier. Ce qui, je l’espère, me donne droit à un peu de considération de votre part. Sachant que, préférant laisser les jouets aux enfants et vos produits dérivés à leurs parents, ma demande porte sur une faveur particulière. Pouvez-vous, cher Père-Noël, si vous êtes encore autorisé à vous transporter d’une...
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