Les correspondances de Jean-Paul Pelras
Monsieur,
Nous ne nous connaissons pas et il y a, de toute évidence, peu de chances pour que nos chemins se croisent un jour. Vous officiez dans le monde de la nuit et dans celui des polypiers urbains. Je vis dans le haut pays où les branches craquent comme des bancs d’église dans le froid des solitudes, où le seul concert qui nous parvienne est celui...
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