Les correspondances de Jean-Paul Pelras
Fernand,
J’ai appris récemment que tu avais décidé de baisser définitivement pavillon après un demi-siècle de rouges limés, d’anisettes, de petits blancs, de panachés, de diabolos menthe, de cafés, de demi-pressions. Tu abandonnes parce que tout ce cirque te fatigue, parce que tu n’as plus la patience d’attendre leurs dernières injonctions, parce que tu ne supportes plus tous ces donneurs de leçons ? D’ailleurs que savent-ils de plus que toi ? Toi, Fernand,...
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