Tribune libre
Ceux qui comme moi, avançant dans l’âge, ont connu des premiers avril où l’on découvrait des gens «très biens» qui se promenaient, en toute innocence, avec un poisson en papier pendu dans le dos, où les nouvelles les plus délirantes faisaient la Une des journaux ou des radios et d’une façon générale où chacun essayait de faire avaler aux autres quelques inventions, ont du mal aujourd’hui à retrouver cette atmosphère cordiale et bon enfant.
Il me...
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