Les politiques qui se succèdent pendant neuf jours Porte de Versailles en sont bien évidemment conscients. Ils espèrent conforter leur capital sympathie en montrant qu’ils savent écouter les doléances champêtres, en levant le coude à l’occasion, en cassant la croûte si nécessaire et, au moins pour la photo, en cajolant quelques croupes entre deux gorgées de Jurançon et une portion de Saint Nectaire.
Et ce, même s’il faut au passage, comme le fit Elisabeth Borne, «murmurer» quelques restrictions à venir sur l’emploi des phytosanitaires ou, entre autres tempêtes annoncées, sur l’irrigation comme évoqué par le ministre de la...
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