Les correspondances de Jean-Paul Pelras
Monsieur,
Depuis ces Pyrénées et cet Aubrac lointain où je gîte alternativement, j’observe vos gesticulations médiatiques, j’écoute vos interventions radiophoniques. Enregistrées la plupart du temps dans des studios lutéciens, elles «renseignent» des millions d’auditeurs sur le modus vivendi de nos campagnes et sur celui de nos agriculteurs. A l’inverse, vous l’aurez certainement remarqué, les paysans s’expriment assez rarement sur le quotidien des journalistes parisiens. Peut-être, car ils ont appris à ne pas s’occuper des affaires des autres, ou, tout...
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