Victor Dijols s'établit à Paris dans l'espoir de devenir un grand écrivain
Quand vint le moment pour Victor Dijols de faire des études supérieures, son père l’envoya chez les Grands Augustins à Toulouse où il reçut un enseignement classique en plus de se familiariser avec les traités de droit. D’emblée considéré comme un élève brillant, il montra, en outre, une véritable attirance pour les langues étrangères, parlant bientôt couramment l’anglais, l’allemand et l’italien. Cependant, il avait un rêve, celui de devenir écrivain, et pas n’importe quel écrivain puisqu’il ambitionnait d’accéder au rang de ces grands auteurs qu’il admirait (Nicolas Boileau, Jean Racine, Philippe Quinault, Jean de La Bruyère, etc.).
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Et puisque déjà, à cette époque, Paris était considérée comme une “ville lumière” où les artistes avaient toutes les chances de réussir, Victor Dijols prit la décision d’abandonner l’étude du droit romain pour aller s’établir dans la Capitale. Riche seulement de son culot et de quelques lettres de recommandation (dont celle écrite par Balthazar de Cambon, conseiller au Parlement de Toulouse), il alla frapper à toutes...
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