Les correspondances de Jean-Paul Pelras
Monsieur,
J’ai décidé de vous écrire comme l’on adresse une supplique à ceux qui, malgré le discrédit, s’entêtent encore à pérorer car ils se croient obligés de prodiguer leurs leçons, de dispenser leur moralité. Un peu comme vous l’avez fait au printemps dernier en demandant au professeur Raoult de «fermer sa gueule». C’était sur LCI, chaîne de...
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