Les correspondances de Jean-Paul Pelras
Monsieur,
Depuis plus d’un an et peut-être même depuis le début du quinquennat en cours, il n’y a, même si le fait est minoré, pas eu de turbulence politique plus significative que celle suscitée ces jours-ci par «la tribune des généraux».
Pourquoi ? Peut-être car, par les temps qui vont, votre parole est moins considérée (ou plus redoutée) que celle des scientifiques défilant depuis des mois sur les écrans de télévision. Peut-être car il ne s’agit pas ici d’une réaction émise par un quelconque parti politique, par un quelconque contre-pouvoir, mais plutôt car il s’agit d’un constat qui vient désigner une...
Vous devez bénéficier d'un abonnement premium pour lire l'article.
Abonnement sans engagement
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.