Les correspondances de Jean-Paul Pelras
Monsieur,
J’aurais pu m’adresser directement à Emmanuel Macron ou à Elisabeth Borne, mais je doute que l’un et l’autre soient disposés à entendre mon propos. Tout comme vous d’ailleurs, qui êtes probablement trop occupé à lorgner la mairie de Nice ou, le cas échéant, un strapontin du côté de Matignon.
Pour l’heure et peut-être afin d’étayer vos ambitions, vous soutenez donc la réforme des retraites imaginée par...
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