Les correspondances de Jean-Paul Pelras
Et si, en 2023, nous nous prenions à espérer. Et si Vladimir et Volodymyr décidaient de s’installer autour d’une table qui ne mesurerait pas 10 mètres de long pour y déguster ensemble borshtch, caviar et autre bœuf strogonoff ou vatrouchka délicieusement sucrée.
Et si, dans ce qui pourrait être un tourbillon de feuilles entre deux saisons, le covid décidait de s’éloigner vers d’autres horizons laissant au monde le temps de reprendre son souffle et à la science, sereinement, le temps...
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