Gauche, droite, gauche, droite… Pour grimper jusqu’au clocher, il faut s’y prendre du bon pied. Sur le côté de l’église Saint-Pierre-ès-Liens à Campuac, une porte aux teintes de grès rouge s’ouvre sur un escalier à pas japonais (à mareches décalées). Durant le mois de décembre, Bernard Sabo gravit trois fois par jour la cinquantaine de marches qui le séparent de Joséphine. Une des cloches du campanile. En ce matin du mercredi 23 novembre, ses mains effleurent la rambarde de bois clair. Une réalisation moderne. «C’est le menuisier à la retraite qui nous a refait les...
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