La route de Lavergne à Laguiole fait écho à la nature du terrain. Une ancienne vergne, aussi appelée tourbière ou zone humide. Mais, pas de chance pour le pôle multiservices, il y avait plus d’eau que prévu par les sondages. «Nous avions effectué les études des sondages géotechniques pour déterminer la nature du sol et le mode constructif», explique Guillaume Freyermuth, architecte du cabinet Bétillon et Freyermuth à Toulouse, maître d’œuvre du projet. «Malgré les marges réglementaires de sécurité, le sol s’est avéré plus défavorable. Cela a nécessité la réalisation de purges complémentaires des sols afin d’asseoir le bâtiment et les voiries sur des bases solides».
C’est lors du terrassement que les artisans font cette découverte. Ils s’attendaient à trouver un sol sableux, ils tombent sur de l’argile. Le terrain n’est pas propice au projet. Il faut donc le...
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