Vitamines, minéraux, oligo-éléments, protéines, acides aminés, produits de phytothérapie… Les compléments alimentaires regroupent une telle gamme de produits qu’il apparaît compliqué de s’y retrouver. Et de déterminer vraiment s’il convient d’y recourir.
Selon l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation (Anses), «les déficits d’apport et a fortiori les carences en nutriments sont très rares dans la population générale et ne concernent que la vitamine D». Et de poursuivre : «de manière générale, en l’absence de pathologie, la couverture des besoins nutritionnels est possible par une alimentation variée et équilibrée dans le cadre d’une vie quotidienne physiquement active. La consommation de compléments alimentaires n’est alors pas nécessaire».
Qu’en est-il toutefois en présence de régimes alimentaires insuffisamment variés et susceptibles de ne pas couvrir les besoins nutritionnels ? «Dans ces cas particuliers», rétorque l’Anses, «le recours aux compléments alimentaires peut présenter un intérêt. Il est alors fortement recommandé de solliciter l’avis d’un professionnel de santé».
Et pour cause, une consommation non encadrée de certains produits peut exposer à des risques néphrotoxiques, c’est-à-dire toxiques pour les reins. Et ce, notamment chez les patients atteints d’une maladie rénale chronique éventuellement ignorée.
Selon l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation (Anses), «les déficits d’apport et a fortiori les carences en nutriments sont très rares dans la population générale et ne concernent que la vitamine D». Et de poursuivre : «de manière générale, en l’absence de pathologie, la couverture des besoins nutritionnels est possible par une alimentation variée et équilibrée dans le cadre d’une vie quotidienne physiquement active. La consommation de compléments alimentaires n’est alors pas nécessaire».
Qu’en est-il toutefois en présence de régimes alimentaires insuffisamment variés et susceptibles de ne pas couvrir les besoins nutritionnels ? «Dans ces cas particuliers», rétorque l’Anses, «le recours aux compléments alimentaires peut présenter un intérêt. Il est alors fortement recommandé de solliciter l’avis d’un professionnel de santé».
Et pour cause, une consommation non encadrée de certains produits peut exposer à des risques néphrotoxiques, c’est-à-dire toxiques pour les reins. Et ce, notamment chez les patients atteints d’une maladie rénale chronique éventuellement ignorée.
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