Mesdames, messieurs,
C’est à Audrey, épouse de marin pêcheur rompue aux réalités de l’existence, que j’ai emprunté ce titre, bien évidemment inspiré de cette période pendant laquelle votre profession était devenue un produit secondaire, une distraction dont nous pouvions soi-disant nous passer. Certains d’entre vous avaient signé des pétitions des manifestes, des tribunes pour dénoncer le manque de considération dont vous...
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