C’est certes abusivement que l’on a pu parler des accords d’Évian du 18 mars 1962 comme inaugurant «la paix en Algérie». La seule partie qui méritait le nom d’accords et qui avait une valeur de droit international, enregistré comme tel auprès de l’Onu, consistait en seize articles organisant le cessez-le-feu entrant en vigueur le lendemain 19...
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