«Écrivain public est un vieux métier d’avenir». Ce sont les mots de Sylvie Monteillet, la secrétaire de l’Académie des écrivains publics de France (AEPF) pour décrire cette profession qui peut sembler aujourd’hui quelque peu incongrue. Dans l’imaginaire collectif, un écrivain public est un métier qui existait il y a très longtemps pour les personnes illettrées. Pourtant, en 2021, il y a près de 120...
Vous devez bénéficier d'un abonnement premium pour lire l'article.
Abonnement sans engagement
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.