Madame,
Vous m’avez écrit récemment, probablement depuis l’Aveyron, le Cantal ou la Lozère, quelque part sur l’Aubrac où vous consultez mes correspondances, pour m’encourager à continuer. Je vous en remercie. Vous étiez infirmière, vous ne l’êtes plus car vous n’avez pas voulu céder aux injonctions de l’injection et, manifestement, avez dû changer de profession. Vous ne...
Il vous reste 90% de l'article à lire.
Vous devez bénéficier d'un abonnement premium pour lire l'article.
Abonnement sans engagementDéjà abonné ? Connectez-vous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.