Le donjon du château de Najac, édifié sous Alphonse de Poitiers, demeure la partie la mieux conservée de la forteresse.
En premier lieu, nous remarquons ses archères qui sont, de loin, les plus grandes jamais réalisées en France et sans doute dans le reste du monde. Au premier niveau, correspondant au rez-de-chaussée de l’intérieur de la forteresse, elles atteignent 6,80 m. Celles du 1er étage (deuxième niveau) ont encore une hauteur de 6,70 m, et il faut parvenir jusqu’au 2e étage pour voir diminuer leur longueur à 4 m. L’accès au donjon, par la cour intérieure, se fait par une entrée défendue par un mâchicoulis. Cette première porte passée, le visiteur se trouve confronté à deux autres battants. Celui de droite s’ouvre sur la salle d’armes où il est loisible d’admirer trois culs-de-lampe représentant respectivement Saint-Louis, Alphonse de Poitiers et son épouse Jeanne de Toulouse. Quant à celui de gauche, il donne sur un escalier à vis relativement étroit et, donc, facilement défendable. En empruntant cet escalier, on parvient, au...
En premier lieu, nous remarquons ses archères qui sont, de loin, les plus grandes jamais réalisées en France et sans doute dans le reste du monde. Au premier niveau, correspondant au rez-de-chaussée de l’intérieur de la forteresse, elles atteignent 6,80 m. Celles du 1er étage (deuxième niveau) ont encore une hauteur de 6,70 m, et il faut parvenir jusqu’au 2e étage pour voir diminuer leur longueur à 4 m. L’accès au donjon, par la cour intérieure, se fait par une entrée défendue par un mâchicoulis. Cette première porte passée, le visiteur se trouve confronté à deux autres battants. Celui de droite s’ouvre sur la salle d’armes où il est loisible d’admirer trois culs-de-lampe représentant respectivement Saint-Louis, Alphonse de Poitiers et son épouse Jeanne de Toulouse. Quant à celui de gauche, il donne sur un escalier à vis relativement étroit et, donc, facilement défendable. En empruntant cet escalier, on parvient, au...
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