Dernière étape d’importance dans la vie de notre sculpteur aveyronnais : Denys Puech est élu, en 1921, au poste de directeur de la Villa Médicis. A près de soixante-sept ans, notre Rouergat retrouve Rome et son Académie de France. Mais l’atmosphère qu’il y découvre est bien différente de celle qu’il avait connue à la fin du XIXe siècle.
Il arrive, en effet, au beau milieu de la montée du fascisme qui se soldera par la prise du pouvoir par Benito Mussolini l’année suivante. Toutefois, Denys ne fait pas trop cas de toute cette agitation, se consacrant de tout son être à la bonne gestion de la Villa Médicis dont il souhaite redorer le blason. Et, dans sa tête, les projets ne manquent pas. Dans un premier temps, il déploie de multiples efforts afin d’obtenir l’autonomie de l’Académie de France à Rome. Il lui faudra néanmoins attendre cinq ans avant de voir son rêve se concrétiser par la signature d’un décret (en date du 1er octobre 1926) conférant la personnalité civile et l’autonomie financière à ladite...
Des «figures» vues à la Villa
Il arrive, en effet, au beau milieu de la montée du fascisme qui se soldera par la prise du pouvoir par Benito Mussolini l’année suivante. Toutefois, Denys ne fait pas trop cas de toute cette agitation, se consacrant de tout son être à la bonne gestion de la Villa Médicis dont il souhaite redorer le blason. Et, dans sa tête, les projets ne manquent pas. Dans un premier temps, il déploie de multiples efforts afin d’obtenir l’autonomie de l’Académie de France à Rome. Il lui faudra néanmoins attendre cinq ans avant de voir son rêve se concrétiser par la signature d’un décret (en date du 1er octobre 1926) conférant la personnalité civile et l’autonomie financière à ladite...
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