A l’aube de la Révolution, la paroisse d’Anglars était essentiellement agricole.
Dans l’enquête de l’évêque Monseigneur Jean François Champion de Cicé en 1771, relative à l’état du diocèse de Rodez à cette époque, le prêtre desservant la paroisse, Jean Bouldoires, déclare qu’il n’y a d’autres ressources que le travail de la terre pour ses paroissiens.
Les productions principales sont le seigle, l’avoine et le blé sarrasin.
Il n’y a que 17 paires de bœufs, souvent suppléées par des vaches.
Il indique en outre que seules 7 ou 8 familles ne sont pas dans le besoin et qu’il y a environ 80 mendiants, dont la plupart sont invalides, sur une population de 607 habitants.
Le curé indique qu’en cas de mauvaise récolte toute la ressource est d’avoir recours à la charité des fidèles ou...
Dans l’enquête de l’évêque Monseigneur Jean François Champion de Cicé en 1771, relative à l’état du diocèse de Rodez à cette époque, le prêtre desservant la paroisse, Jean Bouldoires, déclare qu’il n’y a d’autres ressources que le travail de la terre pour ses paroissiens.
Les productions principales sont le seigle, l’avoine et le blé sarrasin.
Il n’y a que 17 paires de bœufs, souvent suppléées par des vaches.
Il indique en outre que seules 7 ou 8 familles ne sont pas dans le besoin et qu’il y a environ 80 mendiants, dont la plupart sont invalides, sur une population de 607 habitants.
Le curé indique qu’en cas de mauvaise récolte toute la ressource est d’avoir recours à la charité des fidèles ou...
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