Dans le précédent épisode, nous avons rappelé comment le monde et ses tentations avaient distrait la jeune Emilie de sa foi chrétienne. A la seule évocation de cette période, Mère Emilie dira, plus tard, que «ce sont là des jours que je voudrais effacer avec des larmes de sang». Fort heureusement, ces «jours» ne furent que de courte durée.
En effet, lors de la Fête-Dieu de 1804, elle accompagne ses parents à l’église de Saint-Martin de Limouze, là même où elle fut baptisée par le curé Carrié. En ce lieu, elle y rencontre un prêtre qui lui fait prendre conscience du véritable état de son âme. Se produit alors en elle comme une illumination.
En l’espace d’un instant, elle est comme transformée. La voilà revenue comme il y a deux ans, toute remplie de l’esprit divin. Ce moment si particulier, Emilie nous le décrit dans son autobiographie en ces termes : «Tout d’un coup, je fus éclairée sur ma tiédeur et je passai de la mort à la vie, sans combat aucun, sans souffrance....
En effet, lors de la Fête-Dieu de 1804, elle accompagne ses parents à l’église de Saint-Martin de Limouze, là même où elle fut baptisée par le curé Carrié. En ce lieu, elle y rencontre un prêtre qui lui fait prendre conscience du véritable état de son âme. Se produit alors en elle comme une illumination.
La Foi illumine et transforme Emilie
En l’espace d’un instant, elle est comme transformée. La voilà revenue comme il y a deux ans, toute remplie de l’esprit divin. Ce moment si particulier, Emilie nous le décrit dans son autobiographie en ces termes : «Tout d’un coup, je fus éclairée sur ma tiédeur et je passai de la mort à la vie, sans combat aucun, sans souffrance....
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